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samedi 12 mai 2012

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol (Joséphine Cortes tome3)

Quatrième de couverture : Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…

Mon avis : Enfin, je suis arrivée au bout, sincèrement je me suis demandée si je n'allais pas abandonner. Je trouve que la magie des deux tomes précédents s'est évaporé....Je trouve que Joséphine est reléguée au rang de personnage secondaire dans ce tome. J'ai trouvé que c'était trop centrée sur Hortense et Gary, je faisais une overdose des aventures de ses deux personnages. Puis, j'ai trouvé beaucoup trop de bla-bla pour ne rien dire, je trouve qu'il ne se passe pas grand chose, franchement, je pense que le livre aurait gagné à faire moitié moins de pages....J'ai l'impression que l'auteur s'est déconnectée de ses personnages. Pour moi, c'est un gros pavé indigeste, limite une torture de poursuivre cette lecture.....pourtant les deux opus précédants étaient forts sympathiques. Je vous conseille de vous arrêter au tome 2.

Note : 2/5

samedi 5 mai 2012

La valse lente des tortues de Katherine Pancol (saga Joséphine Cortes tome 2)

quatrième de couverture : Ce livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser. Deux bras qui enlacent ou qui tuent. Un homme inquiétant, mais si charmant. Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un Homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse, mais qui passe son tour. Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants. Un père, là haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille...
Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent.

Mon avis : Après avoir lu le tome 1 (cf : les yeux jaunes des crocodiles) j'avais hâte de retrouver Joséphine et les siens. Je suis tout de suite entrée dans l'histoire contrairement au tome 1. On a le même style d'écriture : toujours cinq grosses parties, et l'auteur incarne les différents personnages à tour de rôle.

Joséphine ayant déménagé, suite au succès de son livre, on découvre une nouvelle galerie de personnages haut en couleurs, habitant dans son nouvel environnement. Notamment, un homme charmant mais très inquiétant.
On suit toujours, les aventures des personnages avec autant de plaisir. Certains d'entre eux, évolueront beaucoup, notamment Hortense, elle semble devenir humaine et ressentir enfin des émotions, elle est beaucoup moins obsédée par les riches. Henriette, la mère de Jo, nous apparaît encore plus odieuse qu'avant. Elle va inventer tout un stratagème pour pourrir la vie de son "mari" Marcel et de Josiane sa rivale. Iris, semble avoir touchée le fond... On suit les premières amours de la petite Zoé. J'ai bien apprécié la rencontre entre Joséphine et Du Gesclin, le chien perdu.
A ses tranches de vies, s'ajoute une intrigue policière... une série de meurtres sèment le trouble dans le quartier. Joséphine échappe de peu à une tentative de meurtre.
J'ai apprécié le fait qu'on passe plus vite d'un personnage à l'autre (comparé au tome 1) c'est plus plaisant à lire.

Note : 4/5

vendredi 27 avril 2012

Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol

Quatrième de couverture :
Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l’histoire d’un mensonge. Mais aussi une histoire d’amours, d’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c’est la vie.

Mon avis :
J'ai bien aimé, malgré un début laborieux... Le roman, est découpé en 5 grosses parties (il n'y a pas de chapitres) ce qui peut paraître gênant. Mais vers la fin de la deuxième partie, j'ai commencé à devenir addict aux aventures de Joséphine, et de son entourage...
Au tout début de ma lecture, je me suis dit dans quoi, je m'embarque, on nous présente une multitude de personnages, j'avais peur de m'y perdre, mais finalement j'ai pris des notes et j'ai pu suivre.
L'auteur incarne un personnage différent à tour de rôle, mais ça ne m'a pas dérangé plus que ça.

J'ai trouvé que chacun de nous peut se retrouver au travers les relations familiales, dépeintes ici (même si certaines sont particulièrement dures, comme par exemple entre Josephine et sa mère Henriette, entre Joséphine et sa fille Hortense).
J'ai trouvé certains personnage particulièrement agaçants. Comme Antoine, le mari de Joséphine,que j'ai trouvé franchement irresponsable. Iris, la soeur Joséphine, qui s'ennuie ferme depuis, qu'elle s'est marié à un homme riche, veut toujours être au centre de l'attention. Henriette, la mère de Joséphine, une femme vénale et sans coeur.

J'ai trouvé, que le livre prend (un peu) la forme d'un conte. Sinon, la petite phrase de la quatrième de couverture "ce roman, c'est la vie" décrit exactement l'atmosphère de ce livre. En effet, ça parle de tout, de séparations, de couples, des enfants, de la vie professionnelle, d'amitié, des trahisons, des voisins, des problèmes d'argents,etc...
J'ai hâte de lire la suite.

Note : 4/5